Après une bonne nuit, une douche, toujours froide et le petit déjeuner, nous réglons la note, qui en aparté nous revient beaucoup moins chère que ce que nous aurions du verser à My, autant dire que le principe du gîte en Calédonie n'est pas aussi économique qu'en métropole.
La destination de ce soir est Pouébo, nous continuons de remonter vers le nord de la Calédonie en longeant la Côte Est, région que j'affectionne particulièrement par sa richesse en paysage.
Nous rejoignons Hienghène et ses emblématiques falaises de lindéralique, impressionnants rochers de calcaires noirs célèbres pour leurs silhouettes. Après un passage "obligé" par le point de vue en haut de la colline afin d'y admirer la poule couveuse et le sphinx, c'est par la mer que nous apprécions les falaises depuis le lagon en kayak. Une belle balade depuis la plage du camping du centre de plongée jusqu'à la poule couveuse où nous avons pu admirer le fond marin en P.M.T. (palmes-masque-tuba).
Nous reprenons la route dans l'après-midi, nous ne sommes plus très loin de notre point de chute mais il reste encore deux cascades à trouver ainsi que de la pierre-savon.
Après la traversée de la Ouaïème en bac, la cascade de Tao qui tombe de la montagne sur 200 mètres est visible et accessible depuis la route. Cependant, au pied d'une tribu, nous n'osons franchir les lieux n'étant pas équipé pour faire la coutume (c'est en regardant plus tard dans le guide que j'ai pu lire qu'il suffisait de payer 200 francs à la tribu pour y accéder).
Nos estomacs nous rappellent à l'ordre, surtout celui de Christophe qui a largement dépassé la limite pour le déjeuner, nous poursuivons donc jusqu'au snack qui d'après mes souvenirs se situe plus loin sur le trajet en espérant qu'il soit ouvert et qu'il serve encore. Nous sommes seuls à déguster nos crevettes dans un cadre magnifique, tout va bien. Nous pouvons poursuivre jusqu'à la cascade de Colnett, quelques kilomètres plus loin. Nous marchons 5 minutes afin de rejoindre la plus belle cascade de la côte, la baignade y est autorisée, d'ailleurs nous ne sommes pas seuls. L'eau dévale la roche noire à travers la végétation jusqu'à la mer.
L'eau est fraîche et le temps se couvre comme chaque fin d'après-midi depuis le début de la semaine. Nous ne profiterons pas de la baignade mais chercherons plutôt un moyen pour Christophe, qui a voulu faire son malin en sautant par dessus un rocher, de revenir à son point de départ.
Après cette petite mésaventure, nous continuons de longer la corniche calédonienne afin de rejoindre le relais de Ouané Batch. La route, entièrement goudronnée, n'est pas forcément en bon état partout et emprunte parfois des passages escarpés. D'un côté, la montagne d'où s'écoulent de magnifiques cascades, de l'autre des rivières qui plongent dans la mer, des plages et des cocotiers. A travers la végétation, on distingue des étals en bord de route, c'est là qu'on peut acheter de l'artisanat local et notamment les fameuses sculptures en pierre-savon (pierre claire et tendre qui se travaille facilement). Il faut aussi remarquer la diversité des boites aux lettres, toutes plus originales les unes que les autres, allant du simple tuyau en pvc au four micro-ondes recyclé.
Nous arrivons en fin d'après-midi à Pouébo, ravis de notre petit bungalow en bord de plage. En ce qui concerne cette première expérience du gîte, on dira que la grande tablée de 25 personnes avec d'un côté papi et mamie qui ne se décroche pas un mot et de l'autre des australiens accrocs au tabac pendant le repas, c'est pas vraiment l'idéal. Le menu était cependant très varié et copieux et les chips de manioc excellentes.
Sphinx à gauche et poule couveuse à droite |
Nous reprenons la route dans l'après-midi, nous ne sommes plus très loin de notre point de chute mais il reste encore deux cascades à trouver ainsi que de la pierre-savon.
Après la traversée de la Ouaïème en bac, la cascade de Tao qui tombe de la montagne sur 200 mètres est visible et accessible depuis la route. Cependant, au pied d'une tribu, nous n'osons franchir les lieux n'étant pas équipé pour faire la coutume (c'est en regardant plus tard dans le guide que j'ai pu lire qu'il suffisait de payer 200 francs à la tribu pour y accéder).
Nos estomacs nous rappellent à l'ordre, surtout celui de Christophe qui a largement dépassé la limite pour le déjeuner, nous poursuivons donc jusqu'au snack qui d'après mes souvenirs se situe plus loin sur le trajet en espérant qu'il soit ouvert et qu'il serve encore. Nous sommes seuls à déguster nos crevettes dans un cadre magnifique, tout va bien. Nous pouvons poursuivre jusqu'à la cascade de Colnett, quelques kilomètres plus loin. Nous marchons 5 minutes afin de rejoindre la plus belle cascade de la côte, la baignade y est autorisée, d'ailleurs nous ne sommes pas seuls. L'eau dévale la roche noire à travers la végétation jusqu'à la mer.
L'eau est fraîche et le temps se couvre comme chaque fin d'après-midi depuis le début de la semaine. Nous ne profiterons pas de la baignade mais chercherons plutôt un moyen pour Christophe, qui a voulu faire son malin en sautant par dessus un rocher, de revenir à son point de départ.
Après cette petite mésaventure, nous continuons de longer la corniche calédonienne afin de rejoindre le relais de Ouané Batch. La route, entièrement goudronnée, n'est pas forcément en bon état partout et emprunte parfois des passages escarpés. D'un côté, la montagne d'où s'écoulent de magnifiques cascades, de l'autre des rivières qui plongent dans la mer, des plages et des cocotiers. A travers la végétation, on distingue des étals en bord de route, c'est là qu'on peut acheter de l'artisanat local et notamment les fameuses sculptures en pierre-savon (pierre claire et tendre qui se travaille facilement). Il faut aussi remarquer la diversité des boites aux lettres, toutes plus originales les unes que les autres, allant du simple tuyau en pvc au four micro-ondes recyclé.
Nous arrivons en fin d'après-midi à Pouébo, ravis de notre petit bungalow en bord de plage. En ce qui concerne cette première expérience du gîte, on dira que la grande tablée de 25 personnes avec d'un côté papi et mamie qui ne se décroche pas un mot et de l'autre des australiens accrocs au tabac pendant le repas, c'est pas vraiment l'idéal. Le menu était cependant très varié et copieux et les chips de manioc excellentes.
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