Ce n'est pas tous les jours Noël et pourtant, tels deux grands enfants, nous avons accueillis le retour de nos cantines au bercail comme un cadeau. Il faut bien dire qu'elles se sont fait largement attendre depuis qu'elles étaient parties il y a près de 4 long mois.
Vendredi matin, la journée commençait magnifiquement car elle annonçait déjà le week-end qui se profilait à l'horizon et je reçois un appel téléphonique au boulot à 7h30 me disant que nos effets personnels nous serons livrés à 13h30.
Inutile de vous dire qu'il n'a pas été difficile d'adapter mon emploi du temps mais rien n'aurait pu m'empêcher d'être présente au rendez-vous car la société de frêt n'est ouverte que du lundi au vendredi et donc pas question d'attendre plus longtemps.
Après la petite frayeur "il manque quelque chose ?" non tout était là, un petit peu de nous et un petit peu de vous qui fait chaud au coeur. On se retrouve dans notre élément avec ces petits points de repère triés minutieusement mais évidemment il fallait faire des choix et si certaines choses auraient dû rester en Métropole, il y aura des manques quelque part, c'est sûr, mais si la plupart ne sont que matériel et que l'on peut vivre sans, d'autres sont affectifs et le petit pincement était bien là quand j'ai sorti la couverture de notre Twiny qui me manque tellement.
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| Ménage de "printemps" dans la cuisine |
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